Ils mènent toutes actions susceptibles de prévenir et de remédier à ces difficultés dans le cadre de la politique d’action sanitaire et sociale du ministère dont ils relèvent ».
– Article L 411-3 du code de l’action sociale et des familles et articles 226-13 et 226-14 du Nouveau Code Pénal qui désigne la profession comme soumise à l’obligation du secret professionnel.
- assiste le directeur dans l’élaboration, la promotion et l’évaluation de la politique sociale en cancérologie,
- est responsable de l’UASPP et développe un réseau de partenaires,
- coordonne les démarches d’accès au droit et à l’aide sociale pour les usagers de soins et leurs proches,
- vient en appui et en expertise aux services sociaux hospitaliers, territoriaux ou autres,
- s’assure de la transversalité dans le suivi des cas complexes,
- participe à la mise en œuvre opérationnelle de l’action sociale en cancérologie tout le long du parcours.
Le service social en cancérologie, appelé « socio-oncologie », s’adresse à l’ensemble des usagers de soins avant (prévention, diagnostic précoce,…) pendant (parcours de soins,…) et après la maladie (programme personnalisé de l’après cancer). Il vise à accueillir, écouter, informer et accompagner la personne qui le désire, dans une démarche de résolution de problèmes, pour élaborer, avec elle, des réponses à ses préoccupations, qu’elles soient d’ordre professionnel, personnel, familial.
– de mettre en évidence carences, inadaptations préjudiciables tant à la personne qu’à l’équipe soignante.
– de participer à l’étude des conditions de vie durant la prise en charge, aux politiques de prévention, d’éducation thérapeutique en liaison avec les différents acteurs concernés.